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La taille du vagin compte-t-elle ?

Tandis que les messieurs passent leur adolescence à mesurer le moindre millimètre que prend la taille de leur pénis, en général les femmes n’ont aucune idée de la taille de leur vagin. Pire, elles déclarent même n’avoir jamais pu lire quelque chose sur le sujet. Alors Pierre Perret ? Il est comment le nôtre ? “ Le laid, le beau, Le dur, le mou, Qui a un grand cou, Le gros touffu, Le p’tit joufflu, Le grand ridé, Le mont pelé, Tout tout tout tout. ” Je vous dirai tout sur le minou.

Comment mesure-t-on le sexe féminin ?

Commençons par poser les bases. En moyenne, la vagin des femmes mesure entre 6 cm et 12 cm de longueur et ne dépasse pas 4 cm de largeur. Mais difficile pour une dame d’enfiler une règle dans son entrejambe et mesurer la taille de son organe. Pour connaître la carrure du sexe féminin, il faut en faire un moule en silicone, et en toute honnêteté rare sont celles qui possèdent un kit “Clone-A-Pussy” ( https://www.kisskiss.ch/fr/clone-a-pussy ) dans sa table de nuit ?

Tous les vagins sont différents

Inutile d’aller jusque-là pour que les femmes complexent sur leur vagin cela dit. Comme pour les hommes, elles craignent de ne pas avoir un vagin normal. Or disons-le : tous les vagins sont différents. Certains ont une tête de citrouille, d’autres ont les côtés parallèles, coniques, en forme de coeur, en forme de limace. Bref à chacun sa tronche.

Quel serait le vagin parfait pour une femme ?

Si les hommes cherchent à avoir le plus épais et le plus long des phallus, à l’inverse, les femmes espèrent ne pas avoir le plus baraqué des organes sexuels mais le plus étroit. Le plus fin, le plus petit. Le plus fragile ? Bref, celui qui donne l’impression à son partenaire de se sentir fort et d’entrer par la force. Oui, il ne faudrait pas que les femmes aient l’ambition d’être immenses. Grandes, même de l’intérieur.

Pourquoi les femmes ont souvent mal pendant qu’elles font l’amour ?

La pression qui pèse sur leurs corps va même jusqu’à faire faire souffrir les femmes durant leur rapport sexuel, les laissant alimenter le doute croissant qu’elles ont un vagin anormal. Pourtant la plus plupart des gynécologues s’accordent à dire qu’il est très rare qu’elles aient un problème. Il s’agit en réalité d’une réaction liée à l’appréhension d’être en dehors des normes, de l’image mentale que les femmes ont d’elles-mêmes. Une force mentale qui va jusqu’à susciter la contraction indésirée de leur sexe, une lubrification très faible et donc de fortes douleurs durant la pénétration.

Souvent, tout est dans la tête, même un petit vagin est élastique

Alors qu’en réalité même un petit vagin s’agrandit grâce à l’excitation. Il se gorge de sang, s’élastifie, s’allonge jusqu’à ce que le fond du vagin se dilate. Comme les bonhommes les filles bandent ! Un coup de chaud bien préparé et voilà les vagins qui passent de 8 cm à 15 cm après stimulation.

Ce qui compte ? Connaître les deux corps

Alors, la taille compte-t-elle ? Oui et non. Déjà parce que le vagin a le pouvoir caméléon d’être modulable : si flexible, qu’il peut s’adapter aux formes du pénis de son hôte – du moment qu’il n’y ait pas une grande incompatibilité bien sûr. “Ce n’est pas la taille qui compte”.

Si une femme a l’impression que la pénis de son partenaire “flotte” à l’intérieur d’elle, elle peut valoriser des positions comme la levrette

Évidemment. Il s’agit plutôt d’alchimie entre les deux partenaires. De connaissance du corps de l’autre. Si une femme a l’impression que la pénis de son partenaire “flotte” à l’intérieur d’elle, elle peut valoriser des positions comme la levrette qui resserre les parois du vagin et permet de mieux envelopper le phallus. À l’inverse, la position de la cuillère permet au vagin de se dilater doucement si une femme a trop mal. Plutôt que de penser au calibre de nos sexes, on devrait jouer des positions et s’amuser ensemble, jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de perdant.

Les Hispaniques auraient des vagins plus larges et plus longs… Les C… Les A…

Mais puisque seuls les chiffres semblent faire leur preuve, permettant d’enfermer les petits sexes et les plus grands dans une case précise, on va aujourd’hui jusqu’à mener des études sur les dimensions des vagins en fonction des nationalités. Et ces recherches n’ont rien d’une blague, mais prennent un ton au contraire très sérieux. Les Hispaniques auraient des vagins plus larges et plus longs. Les Caucasiennes ? une ouverture vaginale plus grande et Afro-Américaines un vagin plus petit et plus serré. Des études qui pourraient bien influencer nos rapports sexuels et mettre en danger la beauté des unions arc-en-ciel.

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